Doux cul. Période probatoire

© Vitaly Mushkin, 2018

ISBN 978-5-4493-7031-0

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Ma troisième voiture, la deuxième porte. Tous les matins, à la même heure, j’entre dans cette voiture de métro et je prends ma place. Plus précisément, j’essaie de le prendre, car le plus souvent, il est déjà pris. Je fais sept arrêts. Aller debout, car le train est encombré. Certains compagnons de voyage me connaissent. Quelqu’un voyage dans cette voiture presque tous les jours.

Il n’y a rien de plus inconfortable et désagréable qu’un trajet dans le métro aux heures de pointe. De près, écrasés de toutes ses forces, certains parviennent à aller même avec des choses. Il arrive qu’un porte-documents diplomatiques soit coincé en vous et qu’ils essaient de le pousser entre leurs jambes à tout prix. Mais il y a aussi des moments agréables en voyage. C’est à ce moment-là qu’une femme ou une fille humaine sera pressée par une vague humaine. Et tout de suite, le voyage devient sexy, confortable et rapide.

Une fois que c’est arrivé. À l’arrêt de bus, un autre groupe de passagers pressés s’est glissé dans la voiture. Et une femme intéressante m’a impressionné. Elle, désolée, le cul, a bien serré ma main contre le corps. Et je ne me suis pas pressé de le relâcher. Le corps de la femme était élastique et sexy. J’ai senti le début d’une érection. Craindre que quelqu’un ne voie un renflement dépassant du pantalon ne valait pas la peine dans la foule. Il ne pouvait que sentir. Et le premier à essayer ma bite sur moi-même, probablement, pressé contre moi par la force des circonstances, la beauté. La croissance, elle m’a mis au nez. J’ai clairement senti l’odeur exaltante de ses cheveux. D’après ce que j’ai pu voir et ressentir ci-dessous, j’ai tout aimé. Cul rond particulièrement serré.

La voiture trembla et poussa. En conséquence, les passagers sifflaient l’un l’autre. Mais en même temps, il y avait une certaine liberté pour différentes parties du corps. Cela a dû être utilisé, et très lentement et imperceptiblement, lentement, j’ai commencé à bouger ma main. Le cul était super sexy. Mon coq était déjà en pleine force. Et je ne pouvais pas l’enlever. Et la dame a continué à me presser et à me presser avec son cul. Je me demande si elle sent mon pénis?

À travers le denim de son pantalon, je sens la chaleur d’un corps jeune et en bonne santé. Un corps conçu pour l’amour et le sexe. Le corps est capable de ravir, ravir et apaiser. Par exemple moi. Je bouge un peu plus ma main sur le pape de l’étranger. Cela ressemble déjà à une légère caresse. La fille ne répond pas. Qu’elle s’en moque ou qu’elle ne remarque pas du tout ma main. Mais surtout, elle ne se retire pas et ne fait pas d’objection. Soudain, ma fête érotique se termine. À l’un des arrêts, un compagnon de voyage sort. Et je suis avec un phallus, en train de déchirer mon pantalon.

Le lendemain, l’étranger m’a de nouveau impressionné. Cette fois, dans l’attente de ce moment merveilleux, j’ai réussi à dévoiler de façon imperceptible les beautés de ma main sous mon cul. Et les doigts ont immédiatement senti la chair féminine élastique. Le compagnon de voyage cette fois était en jupe. En jupe courte. Et la paume était presque sur le bord. Juste en dessous, et les voici jambes nues.

La voiture tremble, une femme avance lentement le long de son pape et de sa paume. C’est sexy! Par chance, je baisse ma main plus bas. Cul rond se termine, c’est la cuisse et la jambe. Oh, quel endroit sexy! Prenant courage, je conduis ma main ci-dessous. Voici le bord de la jupe. Et derrière lui… Et derrière lui se trouve la jambe nue d’une femme. Que je touche avec mes doigts. Mon compagnon de voyage ne réagit pas au mouvement des doigts. Ne considère pas le contact sexuel ou simplement tolérer. Ou peut-être qu’elle aime? Peut-être qu’elle veut aussi du sexe comme moi? Mes doutes sont interrompus par l’arrêt du train sur lequel la dame part. Oui, c’est son arrêt.

L’autre jour, je conduisais “seul”. Le compagnon de voyage n’est pas entré dans la voiture à son arrêt. Probablement, nous nous sommes manqués. Ou aujourd’hui, elle a un jour de congé. Ou malade. Mais il peut y avoir plusieurs raisons.

Le lendemain, nous ne nous sommes pas encore rencontrés. Et le lendemain aussi. Il est arrivé au point que j’ai quitté la maison tôt et suis sorti à son arrêt. Et il a commencé à garder. Garder, garder, jusqu’à ce que je sois presque en retard pour le travail.

Mais un jour… Une belle inconnue s’est retrouvée dans mes bras. Voyant qu’elle coulait dans la voiture, j’ai réussi à me retourner devant elle et à mettre deux mains à la fois sous un joli cul. Des fesses rondes et serrées sont naturellement apparues dans mes mains. C'était déjà une sorte de sexe de vacances. Les mains serraient un joli cul et le pénis ressuscité se posa entre elles. J’ai manqué ma propre beauté (comme j’ai déjà appelé la fille) que j’ai commencé à agir plus activement. Mes mains caressèrent mon cul et je sentis (j’aurais pu jurer) qu’une femme me répond. Parfois, les muscles des prêtres se contractaient, à un autre moment, la compagne de voyage elle-même se pressait davantage contre moi. Mais! Mais elle va bientôt sortir. Que faire La suivre? Et si je voyais une fille comme mon affection? Soudain, elle va me renvoyer ou gifler une gifle? Tandis que je réfléchissais à comment être, la voiture s’est arrêtée, une jupe courte est sortie et je suis repartie.

Nous nous sommes revus quelques jours plus tard. J'étais prêt Je désirais une réunion! Voici un âne rond entre ma paume. Je me sens comme une fille s’accroche à moi, ce n’est plus une faute tremblante. Elle demande, demande mes caresses. Je caresse une fesse, personne, bien sûr, ne voit pas. Je ne me cache pas. Les mains doucement et doucement, mais en même temps goulûment, en tâtonnant les fesses, descendent en bas. Les doigts touchent la jupe, je sens la froideur d’une peau lisse et nue. Y a-t-il des culottes sous la jupe? Bien que je ne les ressente pas. N’y a-t-il rien ici? La tête tourne. Je me baisse et la fille entière dans le cou. Elle se retourne et murmure doucement: “Suivez-moi.” Je ne l’ai pas entendu? Mais il n’y a pas de temps pour réfléchir. L'étranger sort, c’est son arrêt. Je suis

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